Les amis d’Alfred
sisley
Depuis plus de 20 ans, “Les amis d’Alfred Sisley” est une association basée à Moret-Loing-et-Orvanne qui retrace toute la vie du peintre Alfred Sisley, un peintre impressionniste britannique qui a vécu à Moret-sur-Loing pendant les dix dernières années de sa vie.
Pendant cette période, il a peint de nombreuses scènes de cette petite ville, capturant son charme et ses paysages pittoresques.
Venez en découvrir plus sur l’homme qu’était Alfred Sisley, ainsi que ses œuvres.
alfred sisley
Alfred Sisley, né le 30 octobre 1839 à Paris de parents britanniques, est un peintre impressionniste renommé. Dès son jeune âge, il manifeste un intérêt pour l'art et intègre en 1862 l'atelier de Charles Gleyre où il rencontre Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir et Frédéric Bazille. Influencé par ses amis et par la lumière naturelle, il adopte le style impressionniste, se distinguant par ses paysages lumineux et ses jeux de lumière sur l'eau.
Contrairement à certains de ses contemporains, Sisley n’a jamais atteint la même notoriété de son vivant. Il a souvent lutté contre des difficultés financières, mais cela n'a jamais entravé sa dévotion à son art. Ses œuvres sont marquées par une sérénité et une délicatesse dans le traitement des paysages, particulièrement ceux de la région parisienne et de la vallée de la Seine.
En 1889, Sisley s'installe à Moret-sur-Loing, une petite ville qui devient sa principale source d'inspiration. C'est là qu'il peint certaines de ses toiles les plus célèbres, capturant la beauté tranquille des rues et des rivières de Moret. Sisley y reste jusqu'à sa mort le 29 janvier 1899.
Malgré les difficultés de sa vie, Alfred Sisley laisse derrière lui un héritage artistique considérable, reconnu pour sa maîtrise de la lumière et sa capacité à immortaliser les paysages français avec une sensibilité unique.
Où voir ses œuvres ?
En France :
quelques œuvres
Pont et moulin de moret en été
Moret-sur-Loing
1888
Exposé à New Haven (USA), Yale University Art Gallery
La Barque pendant l’inondation
Le Port-Marly
1876
Exposé à Paris, Musée d’Orsay
Moret-sur-loing, la porte de Bourgogne
Moret-sur-Loing
1891
Collection particulière
L’église de moret, le soir
Moret-sur-Loing
1894
Exposé à Paris, Musée du Petit Palais
Sous le pont de Hampton court
Moseley
1874
Exposé à Winterthour, Musée des Beaux-Arts
Les régates à molesey près de hampton court
Moseley
1874
Exposé à Paris et Londres seulement
Les Amis d’Alfred Sisley
"Les Amis d’Alfred Sisley" est une association dédiée à la préservation et à la promotion de l'œuvre du célèbre peintre impressionniste Alfred Sisley. Située à Moret-sur-Loing, la ville où Sisley a passé les dernières années de sa vie et réalisé certaines de ses plus belles œuvres, l'association a pour mission de célébrer l'héritage artistique de ce maître impressionniste.
Depuis sa création, "Les Amis d’Alfred Sisley" organise des conférences animées par des experts en art impressionniste, et des visites guidées pour découvrir ses œuvres. Ces événements attirent des passionnés d'art, des historiens et des touristes, tous désireux d'en apprendre davantage sur la vie et l'œuvre de Sisley.
"Les Amis d’Alfred Sisley" continue d'œuvrer avec passion pour faire découvrir et apprécier les trésors laissés par Alfred Sisley, perpétuant ainsi la mémoire d'un artiste dont les paysages lumineux et poétiques captivent encore aujourd'hui.
Sisley rue Montmartre à Moret sur Loing
À son retour du séjour dans la City, chez son oncle Numa, il dira qu'il n'a aucune disposition pour le commerce et que conquis par la découverte des peintres anglais il désire se consacrer à la peinture ; ayant un frère aîné pour seconder son père sa décision n'est pas mal acceptée. Il est donc en 1862 élève de Charles Gleyre, un peintre suisse académique, mais ouvert, qui l'initiera à la peinture; le tube n'existant pas encore, pigments et liens sont une partie pratique importante de la formation. Gleyre est né dans un petit village près de Lausanne et a été élevé par un oncle à Lyon. Il a été célébré pour deux tableaux: Hercule et Omphale pour l'antiquité et le Soir ou les Illusions perdues pour le romantisme. Là il rencontre trois autres jeunes peintres: Auguste Renoir (1811-1919), Claude Monet (1840-1926) et Frédéric Bazille (1841-1870). Rapidement son enseignement trop académique, leur deviendra insupportable ; Monet déclarera : « filons d'ici, l'endroit est malsain, on y manque de sincérité ». Ils décideront de se rendre à Chailly, Marlotte ou Barbizon pour y rencontrer Corot, Millet, Rousseau ou Daubigny dont la peinture plus «< vraie » les intéresse. A cette époque de leurs vies, seuls Sisley et Bazille ont les moyens de payer les frais des séjours au Cheval Blanc du père Paillard, à Marlotte chez la mère Antony, ou à Barbizon à l'auberge Ganne. Ils y reviendront souvent pour peindre la forêt et ses alentours, c'est de là que Sisley découvrira Moret et charmé par ses « paysages, dessus de tabatière » dira-t-il, incitera en 1881, Monet à venir s'installer près de lui. En 1880 Sisley habite à Veneux-Nadon route de By, et en 1882, dans la maison qu'achètera et aménagera Sarah Bernhardt qu'elle dénommera l'Aiglon. Sisley habitera cette maison avant de s'installer en novembre 1889 rue Montmartre ; il est vraisemblable qu'il occupa une maison rue de l'Église à Moret mais nous en ignorons l'adresse précise. Sisley habitera cette maison avec son épouse et Jeanne, Pierre ayant décidé à sa majorité de s'engager dans un régiment de Bourges où il devint sous-officier avec la nationalité française. En 1895, Sisley malade renonce à se rendre à Paris au traditionnel repas des « Pris de rhum » où il retrouvait ses amis, achetait ses fournitures et présentait ses toiles à la recherche d'acquéreurs ; la santé de Marie-Eugénie n'est pas meilleure, mais il continue de peindre sur le motif par tous les temps. Elle décède le 8 octobre 1898 d'un cancer de la langue et lui le 29 janvier 1899 d'un cancer de la gorge, ces fins sont douloureuses et dans une précarité tragique, ils sont tous deux enterrés sous un rocher de la forêt de Fontainebleau, dans le cimetière de Moret. Monet est venu à Moret et devant cette détresse, fait appel à leurs amis pour organiser une vente de tableaux. Avec son fils Pierre ils trouvent 27 toiles et 6 pastels qui n'avaient pas trouvés preneur pour une centaine de francs, à la galerie Petit, alors qu'ils seront enlevés lors de cette vente qui se monta au total à 145.000 francs. Monet recueillera Jeanne et la ramènera à Giverny.
René Roesch.
Calendrier
Évènements à venir
En vente au prix de 14,95€ au Point Sisley et à l’Office du Tourisme de Moret-Loing-et-Orvanne
Départ de Moret-Loing-et-Orvanne à 12h00 en car
Tarifs (comprenant le transport) : 55€ pour les membres et 65€ pour les non-membres
Visiste guidée par Isabelle Majorel de la RMN
Réservation auprès de Jacques BEL : 06 13 60 63 25
Permanent
Découverte d’une photographie inédite d’Alfred Sisley
Parmi les joies réservées au bibliothécaire, il en est une qui donne tout son sens à ce métier, et non des moindres, celle que procure la découverte d’une image depuis longtemps désirée. C’est le cas pour cette photographie représentant Alfred Sisley et sa fille, inédite jusqu’à présent (fig. 1). L’artiste se livra peu à l’objectif, ce qui en renforce l’intérêt. Il est de surcroît facile, pour qui connaît le peintre, d’identifier aussitôt les lieux, à quelques centaines de mètres du centre de Moret-sur-Loing. Voici donc la seule vue en pied qui existe de lui, portrait de plein-air dans un paysage resté quasiment inchangé.
D’un format large (30 × 23,5 cm), sans date ni mention d’auteur, cette épreuve d’époque sur papier albuminé d’après négatif verre au collodion est conservée sous la cote [N2] dans les collections du Département des estampes et de la photographie (BnF). La mention Vente Jane Sisley – étrangement anglicisée – indiquerait qu’elle a été acquise lors de la vente de la succession Dietsh-Sisley du 3 juin 1919 survenue après la mort de Jeanne, le 4 février 1919.L’abréviation coll. G. Sirot indique que cette épreuve est issue du fonds Georges Sirot important don suivi d’une vente au département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque Nationale. L’épreuve a été découpée et collée dans l’album, rendant inexploitable son verso. Des trous aux quatre coins indiquent que son propriétaire – Jeanne elle-même? – l’a tout simplement punaisée au mur.
L’homme a beaucoup d’allure, coiffé de son jaxon victorian hat. Solidement planté sur ses jambes, il paraît sûr de lui et néanmoins sur la réserve; large d’épaules dans un manteau de marine long à double rangée de boutons, il ne doit pas passer inaperçu dans ce pays de mariniers, de pêcheurs et de paysans. Son élégance ne s’arrête pas à la cravate ascot blanche ni au col en velours: la barbe fournie est bien taillée, sa moustache quasi impériale. Il émane de toute sa personne un raffinement viril et une majestueuse simplicité.
En dépit des difficultés financières aiguës qui n’ont jamais cessé au cours de sa vie de peintre, rendant proprement tragiques ses dernières années marquées par un cancer de la gorge et le manque de soins appropriés, c’était une constante chez Sisley, au dire de ses amis, que de donner le change et de garder ses cols de chemise impeccables.
« Sisley et Jeanne à la passerelle »
Christophe Langlois
1. Photographe anonyme, Sisley et sa fille, épreuve sur papier albuminé, Paris,
Bibliothèque nationale de France, Département des estampes et de la photographie,
Cote N2, D262635.
Aucun attribut de peintre ici, ni blouse ni chaussures jaunes, celles que des témoins assurent lui voir aux pieds tous les jours où il part travailler sur le motif mais un habit de ville et des souliers vernis d’autant plus étonnants sur le chemin de Moret que les abords de la passerelle sont loin d’être une rue pavée.
La végétation indique que la photographie a été prise au mois de novembre ou plus tard dans l’hiver, la silhouette d’un jeune noyer dépouillé de son feuillage se détachant derrière eux. Jeanne, la fille de l’artiste, empoigne d’ailleurs un parapluie. Elle porte une coiffe et une jupe épaisse ainsi qu’une veste à épaulettes. Leur tenue à tous deux ne suppose donc pas de longue promenade en forêt ou par les chemins creux.
On est en droit de supposer que c’est au photographe qu’elle s’adresse. Et que Sisley (ou sa fille) a suggéré ce coin de nature. Il s’est préparé – se « faisant beau » pour l’occasion, avec l’aide, pourquoi pas, de la jeune femme.
Rien naturellement ne permet de l’assurer, mais l’absence d’Eugénie Sisley, la femme du peintre, pour un événement aussi rare que cette sortie photographique mérite d’être soulignée. Peut-être souffre-t-elle déjà du cancer de la gorge qui va l’emporter en octobre 1898 et qui la tient alitée de nombreux mois.
Tentative de datation
Sisley est demeuré une vingtaine d’années dans la région, à partir de 1879, déménageant plusieurs fois entre Veneux et Moret, où il meurt le 29 janvier 1899.
Il commence à peindre les environs immédiats de l’Orvanne dès 1880. Cependant Jeanne, née en 1869, n’est alors âgée que de onze ans et la jeune femme présente au côté de son père sur l’épreuve photographique en a visiblement plus de vingt, même s’il est difficile de le dire avec précision.
IlOn peut par ailleurs observer le poil poivre et sel à la barbe du peintre. Celui-ci se rapproche d’un des très rares portraits photographiques de Sisley qui nous soit connu, celui exécuté par Clément Maurice en 1894 à la demande du journaliste Léon-Roger Milès et paru dans le journal l’Éclair (fig. 2).
Sisley y est âgé de 55 ans, et son visage est proche de celui de Sisley et sa fille. Les deux photographies sont très probablement de la même période, à quelques années près. On s’en tiendra donc à une fourchette vraisemblable, entre 1894 et 1898, bien qu’on puisse raisonnablement pencher pour l’hiver 1897/98. Quoi qu’il en soit après le printemps 1898, le peintre malade res- tera alité. En revanche rien ne permet de certifier que Sisley et sa fille ait été également réalisé par Clément Maurice. Le format large indique que cette épreuve ne semble pas destinée à la publication.
Peut-être est-elle l’œuvre d’un amateur ou d’un ami désireux de conserver une image du peintre vieillissant. Contrairement à d’autres de ses amis impressionnistes, à commencer par Monet, abondamment photographié pour les journaux et les publications quand lui vint le succès, Sisley, dont la peinture ne se vendit que très mal de son vivant, n’a pas fait l’objet de nombreuses prises de vue, quelques portraits réduits à sa tête semble-t-il, ce qui renforce l’intérêt de Sisley et sa fille. Rappelons enfin que la pratique photographique, bien que répandue dans les années 1890, est alors encore coûteuse. Aussi ne conserve-t-on aujourd’hui qu’une seule autre photographie du visage de Jeanne Sisley, seul cliché connu d’elle, lors d’un mariage chez les Monet.
Localisation : Les bords de l’Orvanne
Le photographe a cadré le relief adouci d’un des versants de la Montagne Creuse nommé coteau de Saint-Nicaise. Celui-ci, le long de la route de Saint-Mammès, descend vers la plaine derrière l’Orvanne. C’est l’un des secteurs que peignit inlassablement Sisley de 1879 à 1897 : l’Orvanne, avec sa petite sente de ’autre côté vers les champs lui offrait un moyen rapide de gagner la campagne environnante et d’en revenir. En relevant les informations recueillies sur la carte d’état-major 1820-1866, on dénombre trois passerelles sur l’Orvanne correspondant à la période durant laquelle Sisley vécut à Moret.
Notre ami René Roesch nous transmets cette découverte très importante de Christophe LANGLOIS, son correspondant, Conservateur des Bibliothèques, responsable du pôle Patrimoine et Conservation à la Bibliothèque Universitaire des Langues et Civilisations : « Sisley et Jeanne à la Passerelle ».
C’est une découverte exceptionnelle d’une photographie inédite, prise sur les bords de l’Orvanne à Moret, sans doute autour des années 1897/1898. Il existe très peu de cliché d’Alfred Sisley, ce qui en fait une richesse documentaire considérable.
3. Alfred Sisley, Petit pont sur l’Orvanne, matinée de mars
(vers 1880, n°389),
vendu à Durand-Ruel le 16 mars 1881. Tous droits réservés.
2. Clément Maurice, Alfred Sisley,
photographie originale,
Dép. Estampes et photographie,
BnF, Cote N2, D262630. Le cliché a été
repris sous forme de gravure
dans L’Eclair du 26 février 1894.
Une confirmation existe dans la peinture même de Sisley: Petit pont sur l’Orvanne, matinée de mars (vers 1880, n°3894), vendu à Durand-Ruel le 16 mars 1881 est peint depuis cette même berge, la rive gauche de l’Orvanne, mais en sens opposé, en regardant vers l’aval. Le tableau représente en détail la passerelle de bois avec ses doubles piliers réguliers et sa rambarde d’un seul côté. Nous devinons l’endroit où le photographe a pu prendre place: à gauche et en tournant son appareil vers la droite (fig. 3).
La vente de la succession Dietsh-Sisley nous apprend que Jeanne avait conservé, parmi les dix tableaux et 43 dessins et pastels de son père, un tableau intitulé La Passerelle (55 × 33 cm), n°2 du catalogue, peinture malheureusement encore non identifiée à ce jour, aucun numéro du catalogue de Brame et Lorenceau ne correspondant à tous les critères descriptifs du catalogue de vente. L’avait-elle gardé en souvenir de cette séance de pose photographique, suffisamment exceptionnelle pour qu’elle y pensât encore ? Ou pour une raison inconnue, liée à d’autres affections, les promenades d’enfance, les stations contemplatives sur le mince passage à l’aplomb de l’eau visible entre les planches, avec ou sans son père? On peut penser qu’il en allait de même de cette photographie qui enrichit aujourd’hui, significativement, l’iconographie de Sisley.
l’Une randonnée sur place en décembre 2023 a permis d’établir avec certitude l’emplacement de celle figurant sur Sisley et sa fille. Il s’agit de la passerelle située à proximité du pont médiéval dans le virage qui conduit de Moret à Saint-Mammès, après la première écluse. Ce pont de pierre a été recouvert et doublé d’un tablier de béton, si bien qu’il est aujourd’hui invisible de la route. Mais on peut suivre la berge en contrebas. Le cours de l’Orvanne, rivière moyenne, est parallèle au canal du Loing dans lequel il se jette à une centaine de mètres. La passerelle, aujourd’hui privatisée, a été remplacée par un exemplaire en acier qui n’a d’autre rapport avec celle de la photographie que son emplacement et son orientation. C’est d’ailleurs ce dernier point qui permet de la retenir au détriment des deux autres: le photographe n’aurait pu s’établir ailleurs, le coteau devenant trop raide.
Christophe Langlois est conservateur des Bibliothèques, responsable du pôle Patrimoine et Conservation, Bibliothèque Universitaire des Langues et Civilisations.
langloishansen@gmail.com
Remerciements: le présent article a vu le jour grâce à Loïc Le Bail, responsable de la conservation aux Estampes, et à Marine Kisiel, conservatrice au Musée Galliera. Qu'ils en soient ici chaleureusement remerciés.
1. Néanmoins aucun lot de photographie ne figure dans le Catalogue des tableaux, pastels & dessins par Alfred Sisley, Jeanne Sisley, tableau ancien dépendant de la succession de M. et Mme Dietsh-Sisley, Hôtel Drouot, salle n°4 le mardi 3 juin 1919 à 3 heures précises, 11 p. Coll. INHA, cote VP 1919/210.
2. Georges Sirot (1898-1977), passionné de photographie, constitua à partir de 1919 une collection de plus de 100000 épreuves. Sa collection représente la photographie de 1850 à 1920 sous toutes ses formes. Trente mille épreuves sont regroupées en 300 albums dans l’ordre alphabétique. Voir Liste des albums de la collection Sirot à la Bibliothèque Nationale établie par Bernard Marbot à l’occasion de l’exposition Georges Sirot (1898-1977), Bibliothèque Nationale, Galerie Mansart, 15 septembre-23 octobre 1983. Sisley et sa fille porte le n°D 262635.
3. Photographie anonyme, Giverny, 31 octobre 1900, mariage de Marthe Hoschedé et Théodore Butler; collection Jean-Marie Toulgouat, Giverny, reproduit dans Richard Shone, Sisley, Londres, 1992, fig.160.
4. Les numéros sont ceux du Catalogue critique des peintures et des pastels, par Sylvie Brame et François Lorenceau, Bibliothèque des Arts, 2021.
"Chaque tableau devrait être une chose vivante,
née de la vie elle-même,
une fleur unique et différente des autres."
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